Situation sanitaire grippe aviaire
L’évolution de la situation sanitaire concernant la grippe aviaire a conduit les services de l’Etat à relever le niveau de risque en mode Élevé suite à l'augmentation du nombre de cas.
Cette modification de statut entraine un certain nombre de mesures :
Mise à l’abri ou claustration des oiseaux dans toute la France métropolitaine
Au risque « élevé », la claustration ou la mise à l’abri s’applique pour toutes les volailles et oiseaux captifs de la France métropolitaine.
· Dans les établissements de moins de 50 volailles ou oiseaux captifs, les oiseaux sont « claustrés ou protégés par des filets » sauf pour « les oiseaux de chasse au vol ou d’effarouchement ».
· Dans les établissements ≥ 50 volailles, les oiseaux sont mis à l'abri dans un bâtiment fermé mais avec de nombreuses dérogations détaillées ci-dessous et toujours avec une alimentation et un abreuvement qui évitent tout contact avec la faune sauvage.
Dans une zone à risque de diffusion (ZRD) [forte densité d’élevages]
· Un dépistage virologique, à la charge des éleveurs, est requis pour tout mouvement de palmipèdes prêts à engraisser, futurs reproducteurs ou reproducteurs entre deux sites avec des prélèvements datant de moins de 72 heures.
· L’accès d’intervenants extérieurs à un élevage est limité aux « situations d’urgence et de stricte nécessité » avec des véhicules désinfectés à l’entrée et à la sortie.
Autres mesures applicables au niveau du risque élevé (sur tout le territoire)
· Les véhicules transportant des palmipèdes [≥ 3 jours d’âge] sont bâchés (sauf canicule) pour éviter les pertes de plumes et de duvets.
· Les rassemblements d’oiseaux sont interdits avec des dérogations possibles pour les oiseaux de volières (sans contact avec la faune sauvage) ou les pigeons.
· Des restrictions s’appliquent aux mouvements de gibier à plumes détenus dans les zones humides (ZRP) avec un examen clinique vétérinaire favorable dans le mois précédant le mouvement (+ dépistage virologique IAHP dans les 15 jours précédents s’il s’agit de canards ou d’anatidés).
· Les compétitions de pigeons voyageurs sont interdites (jusqu’au 31 mars 2026).
· Des restrictions plus sévères s’appliquent aussi au transport et à l’utilisation d’oiseaux appelants pour la chasse. Les lâchers de gibier de la famille des anatidés (canards…) sont interdits.
Par ailleurs, si vous trouvez des oiseaux sauvages à l'agonie ou décédés (entre autres, grues ou autres oiseaux migrateurs), ne les touchez pas et contactez immédiatement la Mairie.
Cette modification de statut entraine un certain nombre de mesures :
Mise à l’abri ou claustration des oiseaux dans toute la France métropolitaine
Au risque « élevé », la claustration ou la mise à l’abri s’applique pour toutes les volailles et oiseaux captifs de la France métropolitaine.
· Dans les établissements de moins de 50 volailles ou oiseaux captifs, les oiseaux sont « claustrés ou protégés par des filets » sauf pour « les oiseaux de chasse au vol ou d’effarouchement ».
· Dans les établissements ≥ 50 volailles, les oiseaux sont mis à l'abri dans un bâtiment fermé mais avec de nombreuses dérogations détaillées ci-dessous et toujours avec une alimentation et un abreuvement qui évitent tout contact avec la faune sauvage.
Dans une zone à risque de diffusion (ZRD) [forte densité d’élevages]
· Un dépistage virologique, à la charge des éleveurs, est requis pour tout mouvement de palmipèdes prêts à engraisser, futurs reproducteurs ou reproducteurs entre deux sites avec des prélèvements datant de moins de 72 heures.
· L’accès d’intervenants extérieurs à un élevage est limité aux « situations d’urgence et de stricte nécessité » avec des véhicules désinfectés à l’entrée et à la sortie.
Autres mesures applicables au niveau du risque élevé (sur tout le territoire)
· Les véhicules transportant des palmipèdes [≥ 3 jours d’âge] sont bâchés (sauf canicule) pour éviter les pertes de plumes et de duvets.
· Les rassemblements d’oiseaux sont interdits avec des dérogations possibles pour les oiseaux de volières (sans contact avec la faune sauvage) ou les pigeons.
· Des restrictions s’appliquent aux mouvements de gibier à plumes détenus dans les zones humides (ZRP) avec un examen clinique vétérinaire favorable dans le mois précédant le mouvement (+ dépistage virologique IAHP dans les 15 jours précédents s’il s’agit de canards ou d’anatidés).
· Les compétitions de pigeons voyageurs sont interdites (jusqu’au 31 mars 2026).
· Des restrictions plus sévères s’appliquent aussi au transport et à l’utilisation d’oiseaux appelants pour la chasse. Les lâchers de gibier de la famille des anatidés (canards…) sont interdits.
Par ailleurs, si vous trouvez des oiseaux sauvages à l'agonie ou décédés (entre autres, grues ou autres oiseaux migrateurs), ne les touchez pas et contactez immédiatement la Mairie.
